f $ ‘ « « “ r f f(æ), et tous les autres coefficients étant indépendants 422 COURS D’ALGEBRE SUPÉRIEURF. ; r ; ; pareillement — D; V est égale à la somme des pro- 2 m duits m — 2 à m— 2 des mêmes quantités et générale- I 2n ; ; e ment ——— ,, V est égale à la somme de leurs pro- 2.2 m duits m—iàm—i. Par conséquent, l’équation qui a pour racines les q , q n quantités F(e). F(6), - F(F), K( , est Dn——IV D3 V ]) X"————.JÆL___ Xll—l+.-._. m Ë X3 1.2. .…{zæ — 1 =4 12—3 e NN —— X— —. XY= 0. tai2 I Or, pour que u racines de l’équation (2) satisfassent à l'équation (1), il faut et il suffit que l'équation en X ait # racines nulles, c’est-à-dire que l’on ait v=o, D,,Y=0 D, Y= o,..., D}':fl y 0 m m ce qui démontre le théorème énoncé. La démonstration qui précède est plus claire et plus précise que celle qui a été donnée par Lagrange. Il semble effectivement, au premier abord, par le raisonne- ment de l’auteur, qu’il soit permis, dans l’énoncé du theorème, de substituer aux dérivées de V, prises par rapport au dernier terme de l’une des équations propo- sées, les dérivées prises par rapport à un coefficient quel- conque, ou même par rapport à un paramètre dont un ou plusieurs de ces coefficients seraient fonctions. Mais il est aisé de voir qu’on obtiendrait de cette manière des équations de condition trop générales. Par exemple, Pm_; étant le coefficient de x° dans