mata aata B ULSRE 420 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. aient une racine commune, V étant une forzc!ion en- tière des coefficients p1, P2y - < <» J15 J2y + » <, Ct que l’on désigne par Dÿ,mV, D‘,',üV les dérivées d’ordre u et d'or- dre v du polynôme V, prises la première par rapport à Pmy €t la deuxième par rapport à qn, les conditions ne- cessaires pour deux racines communes seront N 07 ce DI,…V=O, ou bien y —0 e D, yY—0; n pareillement, les conditions nécessairés pour trois racines communes seront v » P, V- 0 D; GOS m ; m ou bien V=o, D,V=0o, D,V=0, et ainsi de suite; en sorte qu'on formera les conditions nécessaires pour y racines communes, en joignant à l’e- quation V = 0 nécessaire pour une seule racine com- mune les u— 1 équations obtenues en égalant à zcro les u — 1 premières dérivées du polynôme V, pnises par rapport au dernier terme de l’une des deux équations proposées. Tel est l’énoncé que Lagrange a donné de son théorème, mais il est nécessaire d’ajouter quelques mots sur la ma- nière dont cet énoncé doit être entendu. Ainsi les équa- tions V=o D,V-0; D V=a ,, P V=o0 ) ; / m / m expriment simplement les conditions nécessaires et suffi- santes pour que ; racines de l'équation (2) satisfassent à l’équation (1), en sorte que si l’équation (2) a des racines égales, il sera possible de satisfaire aux u équatiôns de