SECTION II. — CHAPITRE I. 419 On voit que l’équation Pn—lÏll_l 4 Pn—2)ÿn_2 H HIH P 0 a les n — 1 racines ÿ», Y33 - < + » Yn3 ON à donc -—2 y2+_y;;+. . -+yn='_ Efi_ 3 Pnss on a d’ailleurs VHNF3 He0H R — 15 et, par la soustraction, on obtient la valeur demandée de y4, savoir On voit qu’il suffit pour ayoir y4, de calculer dans R, é es n—1 n—3 les coefficients de #* et de y*. Théorème de Lagrange sur les conditions nécessaires pour que deux équations aient plusieurs racines communes. 189. C’est ici l’occasion de mentionner un beau théo- rème que Lagrange a démontré dans son célèbre Mémoire inséré parmi ceux de l’Académie de Berlin pour 1770 et 1771, et qui est relatif aux conditions nécessaires pour que deux équations aient plusieurs racines communes. L’objet de ce théorème est de faire connaître les con- ditions pour que deux équations algébriques aient deux trois, etc. racines communes, quand on connaît la con- dition pour qu’elles en aient une. Voici en quoi il con- siste. ; Tréorème. — Si V o exprime la condition pour , . , . que deux équations algcbrzques (4j> fs e + p, 050 A paxt34A A Pms X H Pn = 0, \ ) (2) F(.r)=.r" + q, æ + G9 X2 A en + Gn-1 E + Gn =0