402 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. V, étant relatif à l’équation du deuxième degré, x+p|æ+q=0. Α + a + pa —+ a” On a immédiatement V,=(p+a)—4(g + pa+ a?) =— 3a*— 2pa +(p*— 4q); d’ailleurs '1 (a—l})(a—c}=3(fi+ 2pa + q, ‘ par suite =—(-— 3a? — 9pa + p*— 44 )(3a*+ 2pa + q }” dh" fe+4p € a.|axpé — 72P49 ma1 m 2> =—27a*—54pas— 27 p> —18p*q| —18pq'| — 49*. sT Divisant cette valeur de V par a°+ pa? + qa+ r, on trouve pour quotient — 27 à% — 27 pa* — 2794 +(4p*+ 275 — 18pq), et pour reste — 49* — 397* + 18pqr + p*q® — Ep°r, ce qui est précisément la valeur de V que nous cher- chons. On trouvera dans le Chapitre suivant une méthode plus expéditive pour résoudre la même question. Formation de l’équation de laquelle dépend une fonc- tion rationnelle et non symélrique des racines d’une équation donnee. 180 S()ifi‘l]t a b C, …. ]\ l l€S m racines d7uD€ équa- , 3 » 2 , [ _f" f tion dOllIlé€ n — o, et V Ela, & 670 2)