SECTION I. — CHAPITRE I. 395 ral, et qu'il est ici égal à A,_,. L’équation entre 2,, An_t, ++., M peut alors s’écrire ainsi : n—1; , M 1 {)‘n, + )*n—1)+ Al {\)‘IL—1 S )'n—2\,} en + An 2 +3,)+ Aprs (m+2)=0; en remplaçant successivement n par 1, 2, .. », n, on ob- tient n équations, d’où l’on tire M ° 20 HE 0, 04e 0s An Hdnps = O, et, par suite, Z Àn =(_Ï)n-2; on a donc cette valeur de F(u, o) , F(g,0)=P2— 2PpsPpi + 2 Pyu-2Py+a 000 — 2P1 Pou—s F 2Pou- ; " Méthode de Cauc/gy. 177. Cauehy a publié, dans ses anciens Frercices de Mathématiques (4° année, p. 103), une méthode nou- velle et fort élégante pour obtenir la valeur d’une fonc- tion symétrique et entière des racines d’une équation. ‘ Cette méthode consiste à éliminer successivement de l’expression de la fonction symétrique qu’on veut éva- luer chacune des racines de l’équation proposée ; elle = repose sur la proposition suivente : Soit V une fonction symétrique et entière des racines à bc es ue dune équation æ" + p x" 4 paatE4 n E Ps sE == A que nous représenterons aussi, pour abréger, par x O; et supposons qu’ayant éliminé de l’expression de V, par un moyen quelconque, toutes les racines excepté a, on