SECTION II. — CHAPITRE I. 383 La formule (1) n’a plus lieu quand 6 == # ; on voit, en effet, que si 6 devient égal à «, les termes de E a” b° seront égaux deux à deux, en sorte que cette quantité se réduira à 2 E a* b*; on a donc (>) $ atte= 1 {{sa)*— nrele En remplaçant s, et s,, par leurs valeurs, on ob- v tiendra une expression deEa“b“ qui ne contiendra plus f le dénominateur ». Cette pr0position n’est pas évidente; mais nous ne nous arrêterons pas ici à l’établir, parce , qu’elle résultera, comme on le verra plus bas, des mé- thodes proposées par Waring et par Cauchy, pour la détermination des fonctions symétriques des racines d’une équation. ‘ Une fonction symétrique triple, qui renferme le terme 143, ; = e ; A , , e ue 7 b* c, pourra être représentée par Z a* bé . Si l’on ; 2E ; d % multiplie la fonction double z a° b° par s,, on trouvera pour p roduit — 4 : > a” ])GCY sE 2 a°+ b6‘ cT V a* bo+—.{; sd d w on a donc * . \ dn —# ‘Î a*bf — E a°+1be— E a* b8+1 d / oumest Cette formule fait connaître la fonction triple Ea“‘ bêcr, car le second membre ne contient que des fonctions dou- bles que l’on sait calculer. Si l’on veut avoir l’expression