SECTION II. — CHAPITRE I. 379 posée par x”; elle deviendra ‘Ï'J”+"+/)l 'rIIL+IL——I +])2'xlll+ll—2+ e +I’l}l—1 .1.n+l+p"l xn= 0. Remplaçons successivement x par chacune des racines a, b, c,, et ajoutons tous les résultats; on aura Smen F P1S$m+n—1+ P2Sm+n—+ - » + Pm—1 SnH1 H PmSn — 0- £n donnant à n les -valeurs o, 1, 2, ..., et observant que s#= m, on obtient les relations suivantes : [ Sm —#PSm—1+ P2Sm—+ -" +Pm-sr51 H MPm H O, ) m FP1Sm H PaSmss F <… » +Pm—1S2 #H Pm$1 — 0, Sm+eFP1Sms1i H PoSm +---HPm-153+ PmS2 — 0, Les sommes 54, S2, - - - » Sm_1 étant connues par les for- mules (1), la première des formules (2) déterminera sm, la deuxième s,41, etainsi de suite. [importe de remarquer que les valeurs des sommess,, s, … ne contiennent dans leur expression aucun dé- nominateur, et que si les coefficients p4, P2, -.. sont'des nombres entiers, les sommes sy, S9, ... sont aussi des nombres entiers. Réciproquement, si l'on connaît m sommes de puis- sances semblables, par exemple s4, 52, - - - , Sm, ON pourra déterminer les coefficients p1, pa, .- à l’aide des for- mules (1)et(2), qui ont été données, pour la première fois, par Newton. Pour calculer les sommes de puissances semblables des racines à exposants négatifs, il suffit de donner au nombre n, que nous avons introduit, les valeurs succes- sives —1, —2, — 3, ... mais, à l’égard de ces sommes de puissances négatives, le moyen le plus aisé de les trouver consiste à changer x en î dans l’équation pro- posée, et à calculer ensuite les sommes de puissances