SECTION I. — CHAPITRE VII. 371 nous de caleuler les racines de l’équation (r) #—z+I=0, qui toutes les quatre sont imaginaires. Si l’on pose z=x+yy—1, cette équation se décomposera dans les deux suivantes : (a1 152 æ?)? — #at(y* — x*) — (4æt + æ — F == 0, (3 )‘{£îa'{;)'2——.r'2\‘+ï]:0, et en supprimant de l’équation (3) le facteur y, on aura I (43 _)'2———.1,‘2:—7—; l.l‘ portant ensuite cette valeur de y%? — x* dans l’équa- tion (2), il viendra 64x$ — 16233 — t =0; enfin, si l’on pose (5) x= cette dernière équation deviendra B— 4( —I—0: Les substitutions donnent les résultats suivants : t t&—at— 2 se E 3 +16 2,1 — 0,139 2,2 +— 0,848 >,E} — 0,04606g 2,12 | +— 0,048128