SECTION I. — CHAPITRE VII. 367 = ainsi, en particulier, si la propoace et les transformées successives ont des racines imaginaires, la partie imagi- naire de ces racines tendra vers zéro. Supposons maintenant que la fraction continue (1) tende vers l’une des racines « de l’équat10n propoaee. Alors la nième transformée aura une racine positive unique, &n, Si n est suffisamment grand ; il est d’ailleurs évident que tout ce que nous venons de dire précédemment s ‘ap- Ÿ.7*j pliquera à l’équation = o. Par conséquent, dans X -—x le cas qui nous occupe, les racines de la transformée de rang n, autres que la racine positive &,, pourront être repu>cntees par —g(1+e), —E(1+E2), —… — 2(1+emn-s)s J g étant un nombre p051t1f et €4, £2, « - -, Em- désignant dc: quant1tcs réelles ou 1magmæres dont les modules peuvent devenir plus petits que toute quantité donnée. Le produit des facteurs linéaires qui répondent à ces racines sera donc (5\ ( + 0 m—l+4E Ô_Ï.m—— +r gz m—5+ +E… am—1), E,, Es, - - « y Em_s étant des coefficients réels qui peuvent devenir moindres que tout nombre donné. Posons w { TN hl dl n—1 m—2 {æ+8)" sU t. +— G,gæ Hs HG7 28 1 2O 4 E on aura G0 —1, G)zz—l —1! et G!.+1 m ; 0. °2e 6.1 l’expression (5) se réduit alors à (6) Gx * (G, + B, )ga”+0+ (G,7—1 + Em=-1)£ "4 0 ;