SECTION I. — CHAPITRE VII. 363 les mêmes quotients ; on à x désignant la racine positive de l’équation x;— 20x —9gæ, — 1= 0. Nous étudierons dans la suite de cet Ouvrage les équa- tions qui possèdent cette propriété remarquable. 167. Dans un Mémoire qui fait partie du tome I*” du Journal de Mathématiques purèes et appliquées, Vin- cent a fait connaître une belle propriété des fractions continues, et il en a déduit, pour le calcul des racines réelles des équations, une méthode qui procède à la fois de celle de Lagrange et de celle de Newton ; nous croyons devoir établir ici la proposition sur laquelle repose cette méthode. Tuéorème. — Ætant donnée une équation f(x) =0 qui n’a pas de racines égales, si l’on fait successivement I ï I x—a+—» s—A v ds +— =— ..» .rl .ÎÎ2 ,I'3 A, A4, A2, ... étant une suite illimitée de nombres en- tiers positifs quelconques, après un certain nombre de transformations, il arrivera toujours que les t1‘ansjbr— mées successives n'auront que des permanences ou qu'elles 71’<fii‘1'/‘071t qu'une seule variation. Le second cas se présentera si l’une des racines de