SECTION I. — CHAPITRE VII. 353 et la transformée en Xy41 SEFA t ( \ m { \ m ° —2mv-1 _fy. \“;A ) -/y. \”1* p e ; æ t Ju(@u) HR e e e ainsi l’on aura y m \ d,) #e+1 p (u+ f @ ((:l_) u-+1) ./ w KF - Af_u )=_f;J {(Ifl, :\\l‘* 1)= —— 9 .. AE}‘[ e é 4 ; I 2N Remarquons enfin qu’on peut toujours faire en sorte, si on le juge à propos, que l’équation proposée n’ait qu’une seule racine comprise entre deux entiers consécutifs ; car il suffira, pour atteindre ce but, de multiplier toutes les racines de cette équation par un nombre convenablement choisi; alors chacune des transformées (2), 10} 3> n’aura qu’une seule racine positive et supérieure à 1. 165. La méthode précédente serait d’une longueur rebutante dans la plupart des cas, si, en la proposant, Lagrange n’avait indiqué un procédé très-simple qui per- met de déterminer sans tâtonnement la suite des quo- tients à, d, d», , lorsque quelques-uns des premiers termes sont connus. Voici en quoi consiste ce procédé. so
Qs x-— P 4 SPE x ou, à cause de PnQn—l n Qn = (“ I >n, Qu—1 =T (—"l>n ; QfL F QIL(PIÀ"_ an). S. — Alg. sup., 1. ? Un +—