SECTION I, — CHAPITRE VII. 349 grand des modules que prend le méme rapport quand x warie entreaet &. Sil'on désigne par a celle des deux limites x, & pour laquelle les fonctions f(x), F X sont de même signe, et par b celle pour laquelle les mémes fonctions sont de signes contraires, on aura ces nouvelles limites de la racine x4, f(e) f(a) W, I)1=a—————M(a—[))2_ F1a) dont la première est précisément celle dé Newton. Si la d =— fonction f"(x) varie dans le même sens, entre les li- mites a et b, auquel cas f"(x) conserve le même signe, on pourra former le nombre M en divisant celle des I 05 7 cA T A e ; deux quantités 2j (a), ,,f (b) qui a la plus grande valeur absolue, par celle des deux f'(a), f'(b) qui a la plus petite waleur absolue. Le nombre M étant calculé comme nous venons de l’in- diquer, il est nécessaire, pour notre objet, que la valeur absolue du produit M(@«—b)'soit inférieure à l’unité; si le contraire avait lieu, il serait indispensable de resserrer les limites de la racine, avant d’appliquer la méthode. Supposons que la valeur absolue de M soit comprise I entre —, 10” I ; É en « et —> k étantun entier p051t1i, nul ou néga- — în" I « ; = ° S ? 4 = soit la différence des limites primitives œ uf, et que 10 et 6 ou à et b. Au moyen de ces limites à et b on caleu- lera, comme on vient de le dire, les nouvelles limites a,, b,, puis de celles-ci on en conclura deux autres a,, ba, et ainsi de suite ; si l’on pose généralement a, — b = E Epy en sorte que c, représente la valeur absolue de la diffé-