SECTION 1. — CHAPITRE VIT. 343 Si l’on néglige les puissances de w qui figurent dans le second membre de cette formule, on aura, avec une ap- proximation d’autant plus grande que u sera plus petit, 2n 7. Ra - 1 e) et si l’on fait b=(l— b sera une nouvelle valeur approchée de la racine. On peut appliquer le même procédé en partant de cette va- leurd, etl’on en concluraune troisième valeur approchée , PP et ainsi de suite. Telle est la méthode de Newton ; elle permet, en gé- néral, d’obtenir promptement une très-grande approxi- mation, et il est aisé d’apprécier, dans chaque cas, le degré de rapidité avec lequel cette approximation aug- mente, en estimant la grandeur des termes négligés dans le passage des équations rigoureuses, telles que (1), aux égalités approchées dont on fait usage. 161. Exempre. — Soit l’équation x* —7x +7 =0 déjà considérée au n° 159. Nous avons vu que l’une des racines est comprise entre 1,35 et 1,36; appliquons la méthode de Newton au caleul de cette racine, en partant de la valeur approchée a—1,35; l’é(iu&ti0n (1) devient ici far e I f(a) 2f'(a) 6/f'(a)