= SECTION I. — CHAPITRE VII. 335 Si l’on remplace, dans le second membre de cette formule, æ —x ——/—°7 on formera la fonction suivante : è x — x, \ Au, (.L‘—.r0 xæ—x, > A F I c aes … ( h > I h ) < h 122 / (Ls T lxs A y (S ) (S A —— ——> h h 153 <4 qui se réduit évidemment à u, pour X— X0 + nh, et, en la retranchant de / (x), on obtiendra une fonction entière du degré m qui sera nulle pour les m +1 va- np ar leurs Xq, Xo +h, <. , Xo + Mh de x : or cela ne peut avoir lieu que si la fonction dont il s'agit est identique- ment nulle; on a donc ; 'f/‘z‘)=ll S x-—x, î-\_Lî9 su Œg}_],) A? UR > ( 3)‘ é > #. = (T3)| (x —%0) (x—.zr0——/z)...(.1'—.r0—'—m— 1h ) A ue 1.93 N hm —— Cette formule subsiste quel que soit ; si l’on fait tendre » ; ; < $ ; v ds A" U vers zéro et que l’on représente par w la limite de T7 l pour h — o0, on aura ° ” e 1 ; ap; \ d æ—æ , — x)" , x—x%,) (14)/(=)=#+ u+ ( —— ud+,..+ ( - Es 1.2 E.2..0M d’où il résulte que u est la valeur de la kième dérivée de f (x) pour x = x9, en sorte que l’on a AF A $F3 = hn —%ï—r>, pour h=— 0. 457. LimitrEs DES RACINES RÉELLES D'UNE ÉQUATION. — Lorsqu’on substitue des nombres équidistants dans le premier membre d’une équation f(x) = 0, en suivant la