SECTION I. — CHAPITRE VII. 329 expression n’étant autre chose que ceux de la puissänce n'ême d’un binôme pris alternativement avec les signes + et . La formule (7) étant vérifiée dans le cas de n = 1, il suffit, pour en démontrer l’exactitude, d’établir que, sI elle a lieu pour une valeur quelconque de n, elle subsiste pour la même valeur augmentée d’une unité. Supposons donc que la formule (7) ait lieu pour n = p ; en l’appli- quant aux 4 + 1 premiers termes de la suite proposée, puis aux u +—1 termes qui sdivent le premier u,, On aura u u(— 1) SON e u= u — —U,—4 + É uE (—— PEs (— LJ RŸ T2 I ; ‘ p p(p—1) ( es \ u, — Uss1 u, + — w4s —— (— 1)F5 45 + (— 1 LS v.2 3 l L sq si l’on retranche la première de ces égalités de la seconde, et que l’on ait égard à l’identité Creu-— pn R-N n 1 dn k P' / \ )+y'_>* à e E « ) 5 15 0 1.2...(4—1) (8) L /|u+I\:J,\y.—I)...\À!L—À‘+2) ce » 1O T 1l viendra ; st p—+—1)u ; A6+1 U— e ËΗ_ Lu LÎ) ‘ Us e us ( . )‘H—1 U, ce qui est précisément le résultat fourni par la for- mule (7), quand on fait dans celle-ccn=y+1. / 153. ExPRESSION DU TERME GÉNÉRAL D'UNE SUITE EN FONCTION DU PREMIER TERME ET DE SES DIFFÉRENCES. — On a, d’abord, (9) u, — u, + Auy, puis — 9 Au, — Au, + Atto, U, u;