SECTION I. — CHAPITRE VII. 3295 donnera sduse=+ 5 7 d’ailleurs les coefficients de 9 (x) étant entiers, 9(Æ 1) est un nombre entier. Donc : le nombre entier ane peut étre une racine de l’équation f(x) = 0 si f (Æ 1) n'est pas divisible par a + 1. Quant aux résultats /( 1) de la substitution de Æ 1 à x, 1ls s'obtiennent par de Ëimples additions ou sous- tractions entre les coefficients de f(x); on peut donc reconnaître immédiatement si l’équation proposée admet les racines +1 et — 1. ExemPLE. — Soit l'équation f(æ) = « — 34x* + 29 x? + 212x — 300 = 0, on a ; f\\+ IΑ= — 92, f(—lï =—450; en conséquence + 1 et — 1 ne sont pas racines. On re- connaîtimmédiatement que toutes les racines réelles sont comprises entre — 6 et + 6; les seuls diviseurs de 300 qu'il y ait lieu d’essayer sont donc + », # 3, # 4, = 5; mais il faut rejeter +3, parce que / (— 1) n'est pas divi- sible par 4, ainsi que 2, — 4 et — 5, parce que ces nombres diminués de 1 ne sont pas des diviseurs de f(+1); on devra donc se borner à l’essai des nombres + 2, — 3, + 5 et l’on disposerale caleul comme il suit : | | s. o| — 34 +29‘;+112J—300 2 +1|+#+ 2|=30| 2 3 —" Z1*{"#+150 | | | | \ \ +1 ‘ PE 4 5 208 — L + 1|+ 1 | L’essai du diviseur 2 ayant réussi, on doit renouveler cet essai qui réussit encore ; la troisième ligne du tableau qui