COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. 324 ajouter un dernier quotient avec le coeflicient du pre- mier terme de l’équation, ce qui devra donner une somme égale à zéro. On peut disposer de la manière suivante l”opéralion qu’on exécute pour essayer un nombre a : | | } ! Ao | 5 C péé ETE A 21 A a | i — Bo pees => Bm—2 sx Br—1 Les coefficients de l’équation ayant été écrits sur une première ligne horizontale, on divise le dernier coefficient A, paraetl'onécrit au-dessous de ce coefficientle quotient n ué f vA “ ë obtenu — B, changé de signe. On divise ensuite par a le coefficient A,,_ augmenté du premier quotient B,,…, et l’on écrit au-dessous de A,,, le deuxième quotient obtenu — B» changé de signe. On continue de la même manière jusqu’à ce que l’on ait écrit au-dessous du cWefficient A, le quotient changé de signe — By obtenu en divisant par a la somme A, + B,. Si l’une des divisions ne se fait pas exactement, ou si la somme Ay + By n’est pas nulle, le nombre essayé à n’est pas racine. Dans le cas contraire, le caleul qu’on vient d’exécuter fournit les coefficients du n ; y (2) Ë quol1(}nt —‘—’—; et, pour trouver les autres racines en- x — a € tières, il suffit d’appliquer la même règle à ce quotient, et ainsi de suite. Les nombres qu’il faut ainsi essayer sont les diviseurs du dernier terme de l’équation pris avec les signes +et—; toutefois on devra rejeter ceux des nombres ainsi obtenus qui tomberaient en dehors des limites des racines et ceux qu’on peut avoir reconnus comme n’étant pas des racines. Par exemple, si à est une racine entière, l’identité (2), M , savoir : / rl es p ï __'/ ; j"*)‘=?(æ)»