SECTION I. — CHAPITRE VIT. 323 et, sl a est un nombre entier, il estévident que les coeffi- cients du polynôme @(x)serontaussi des nombres entiers. En effectuantle produit indiqué dans le second membre de la précédente égalité, eten écrivant que les coefficients des mêmes puissances de x dans les deux membres sont égaux entre eux, on trouve ; À -* MR An —a B…_1, Bm—l — , a Ans + B s2S 1 m1 Am-+ — aBm-a— Bm—b Ba-s= z a A +—B rs TRs in—2 m—2 Am—2 =—a Bm—3 r> B…__2, d'où Bm—3 PSN US çeR a A, + B, A, =aB—B, n —- ; ; A 552 Bns o — À, + B, et réciproquement, si les relations précédentes sont satis- faites, la formule (2) aura Hieu identiquement; done, pour que le nombre entier @ soit une racine de l’équation proposée, il faut et il suffit que les valeurs précédentes de Bm_1» Bm_2y -<-» Bo soient des nombres entiers, et que le dernier de ces nombres soit égal à — Ay. Ainsi les condi- tions auxquelles on reconnaîtra qu’un nombre entier positif ou négatif est racine d’une équation sont les sui- vantes : Il faut et il suflit qu’il divise exactement le dernier terme de l’équation ; qu’il divise la somme obtenue en ajoutant le quotient de cette division avec le coefjicient de la première puissance de l’inconnue, qu'il divise la somme obtenue en ajoutant lequotient de cette deuxième division avec le coefficient de la deuxième puissance de l'inconnue; et ainsi de suite, jusqu'à ce qu’on arrive à we