318 COURS D'ALGÈBRE SUPÉRIEURE. de — 10 à +10, les racines réelles sont toutes comprises entre ces limites. D2 -—104 — 1 y a une variation perdue; il y a donc, entre ces limites une racine unique qui est ainsi séparée. De —# —0 àl y a deux variations perdues, ce qui indique deux racines imaginaires. Enfin, de +—1 à 10 il v a trois variations perdues, donc il ya entre.ceslimites une ou trois racines réelles. La série des indices relatifs à l’intervalle de r à 10 est D 21D E On a Ici (/'1vl Io) j‘1v{l\‘ t e 5 *z=% ce résultat montre que l’intervalle de 1 à 10 € st 11‘0p con- sidérable pour qu’on puisse reconnaître ] p | a nature des racines par une seule opération. Mais, avant de dimi- nuer cet intervalle, il convient d’examiner si l’équation f"{(x)= 0 n’aurait pas deux racines égales comprises entre 1 et 10. On reconnaît effectivement que x — » est un diviseur de f""(x) et de f"(x); d’ailleurs ce binôme ne divise pas toutes les fonctions f (4),- sf e qui précèdent f" (x); donc on pourra retrancher » des cinc premiers indices. On obtiendra ainsi la nouvelle série 1, 0, 0, O, O, 1, O, qui montre que la Séparation des racines est terminée. Ainsi l’équation proposée n’a que deux r acmnes réelles, l’une entre —1 et —10, l ‘autre entre +1 el —10. 5()'p(l/'(lü0/l des racines ima cinaires. 147. Sif(z) désiene une fonction entière de l a va- viable inmginaire == x+iy, dans laquulle les coeffi-