304 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. — 1, une dans le passage de o à 1 et une dans le passage de 1 à 2; l’équation proposée a donc deux racines entre — 2 eLt — I, une racine entre o et 1 et une qutre 1 et-s: Il reste à séparer les deux racines comprises entre I et — ». Or, d’après le tableau précédent, on voit que la première des fonctions V est positive pour x=—2, ainsi que pour x = — 1, et l’on trouve qu’elle est néga- Ë 3 ; ut Uive pour x = — —; donc les deux racines négatives sont S £ | comprises, l’une entre — 1 et — 1,5, l’autre entre — 1 5 | et-—2; | Pavupr e fl ps ; yxs à xemale Lé & ÆEXEMPLE H. — Prenons pour deuxième exemple l’é- | | quation xæÉ+as—as—28+x—xe+s ==6; on trouve, dans ce cas, | vaeauat t S x | Vl - (‘….:i+ 5at — 4',.:; — 3x? #0n 1 , F % e 2 S 2R v 17x* # 1_|.1f" — 27.1--’ s9 55, vs — 79243 # 2052.x? — 2058x +— 127, V, — — 5180552 22 +— 1923200 x + 10048623. On reconnaît, par la méthode du n° 11 k, que l’équation proposée ne peut avoir de racines réelles en dehors des limites — 0,6 et + 1. Or l’équation V,= o a ses deux racines réelles, mais l’une d’elles est comprise entre — 1 et— 0,6, l’'autre entre + 1 et +: doné il est inutile, pour notre objet, de calculer V; et Vg. La suite des signes des fonctions V Y V VN » est, pour x =—