SECTION I. — CHAPITRE VI. 275 rivée f'(x) a ici pour valeur e np # ( =m gnst (.r’”*” sp JL\ ; m ; si p est positif, l’équation /”(.1”) = o ne peut avoir d’autre racine réelle que zéro; donc la proposée ne peut pas avoir dans ce cas trois racines réelles. Si p est négatf, et que l’on désigne par b le radical /71*1l/ ///} v SE m l’équation /"(x)= 0 admettra les racines — b et + D, indépendamment des racines nulles qu’elle peut avoir et qui sont, par hypothèse, en nombre pair. Alors, si la pro- posée a trois racines réelles, — à sera comprise entre les deux plus petites, tandis que + b le sera entre les deux plus grandes ; donc ces trois racines serontrespectivement comprises dans les trois intervalles que forme la suite =o, =6" b #0 ce qui exige que l’on ait f(—+b)>0, f(+6) == 1 m et elles peuvent s'’exprimer par une inégalité unique, en ième écrivant que la puissance (m—n) de la quantité in- >i<—me llC termédiaire est inférieure à la puissance (m—n