SECTION I. — CHAPITRE VI. 255 Après ce qui a été ditau n° 112, il est presque superflu d’ajouter que la méthode précédente peut être appliquée à la recherche de la limite inférieure des racines posi- tives, ainsi qu’à celle des limites des racines négatives. ExemprE. — Reprenons l’équation qui a été considérée au numéro précédent. On a F(æ) = x3 — 45x* + 7233 + 36 x* — 928 « — 147 f'(æ æ ) ; : rs JL =— 5x*t — 1803 + 2162 + 728 — 928, ; C j’// 7 L = 10x* — 2702* + 216x + 36, 1.2 j'///"r\/ e + = 10x* — 180% + 72, d j'xvï"l.\£‘ $ e d f ue 5x — ,‘;5. 1.2.3.4 La valeur x = g annule f""(x), mais toute valeur supé- rieure rend cette fonction positive ; la dérivée précédente, f”’(\J(' ), est positive pour x = 18, mais la même valeur rend f"(x) négative. Cette dernière fonction devient positive pour x = 27, et f'(æ), qui est alors négative, devient positive pour x = 36. La valeur x = 36 rend f (x) négative, mais f(x) devient positive pour x = 44. On peut donc prendre 44 pour limite supérieure des ra- cines positives. Théorème relatif aux resultats de la substitution de deux nombres quelconques à l'inconnue. 115. Tnuéorème. — Soient f(x)= 0 une équation à coefficients réels, xyetX deux quantités réelles quelcon- ques. Le nombre des racines de l'équation f(x) =0 co/nprises entre les quantités x, et X est pair ou impair suivant que les résultats f (xo), f (X) obtenus en sub-