SECTION I. — CHAPITRE VI. 253 supérieure des racines positives de l’équation proposée. La méthode du n°112 donnerait 929 pour limite. I ; ; ; En changeant x en —> on obtient la transformée æ 1—45x% + 72* + 3672 -— 9?,8.r“ - l47.1:3 =— 0 le p1‘(æmi€r membre de cette équation, changé de signe, « peut être décomposé dans les deux partics e e e 147 x* + 928x* — 36.73 — 72x?, / 5x —1, ; i I ec qui sont positives toutes deux pour x = 3° d’où 1l ré- sulte que 3 est une limite inférieure des racines positives de la proposée. e Si l’on change x en — x dans la proposée et dans la cs cit 2 ; I ; ; ; transformée en —, on obtient deux nouvelles équations, F es dont les prcmiers membres peuvent s’écrire comme il suit : . fA m3 QT e \ F A X(x* + 45 X° H 722 36x 9°.8/\ +l;|,'], s, q 9 » ! ( x3(147 x* — 9g28æ — 36) + 72x* + 45x +1; le premier polynôme est positif pour x = ou >3 etle second pour x = ou >7- 6 Il résulte de là que les racines positives de l’équation { 2 [ Ç ; … proposée sont comprises entre 3 et 45, et que les racines ñ . I ; négatives le sont entre —— et — 3. 114. Méruone p£e Newron. — Cette méthode, dont l’emploi offre souvent quelque avantage, repose sur la proposition suivante : Soient 104 f‘lîrr‘), f(("73)v'——7f"L(.r) , 4‘ la suite formée par une fonction entière du degré m