\ SECTION I. — CHAPITRE V. 245 de X étant égal à Æ p, on aa,b,=— p; en outre, comme /) est premier, l’un des nombres a,, b, doit être « égal à et l’'autre à Æ p; nous supposerons A == rs A /7., L:Î P. On a identiquement, par hypothèse, N r E PX 11) ou (_1".L+ n--+(ÏQÂ_I.ÏŸÎÎ\È {.1,”'—{— T4s ])v——l"riP) —ES —+—])x (ï‘), X w’J‘)-ét&nt un polynôme à coefficients entiers; on peut supprimer le terme # p dans le second fdcteur du pre- mier membre, et il vient alors (a#+...—a,_, æ Hr) (H H 69 0H D 0) 468 PI (æ}, %1(x) étant un polynôme à coefficients entiers. Le terme le moins élevé en x dans le premier membre est H b,_, x ; donc il faut que b,_, soit divisible par p ; on peut alors supprimer le terme b,_, x dans le second facteur du premier membre ; 1l vient alors \ (H H A E N) (H H b.,_2.r2) =x PY, fr) En continuant ce raisonnement, on voit que tous les 2 E ; coefficients b,, ba,.., b, sont divisibles par p, et l’on a, en conséquence, (æt + axtt 4 H d e E 29 RE PXS (æ), %,(x) étant encore un polynôme à coefficients entiers. Or cela est impossible, puisque le coefficient de x" dans le premier membre de la formule précédente est égalà—1; donc l’équation , x =0 est irréductible.