SECTION I. — CHAPITRE V. 233 Il existe une relation pareille entre les trois fonctions Un, U,_1, Un_» ; en effet, si l’on ajoute les égalités V/l — x Vn—l Gs V/L—‘Jv u Vn—d Es Vn—3a ............ à v =V —V. il viendra, en ayant égard aux formules (6), 7 ) tÎ/I — æ [Tn—l — U s. -=25 et cette formule permettra de calculer successivement les polynômes U», U;, - .., en partant des valeurs (8) U, =1 2U> 0-51 109. Si l’on pose (1) z — COs + iSing, on aura (2) =— z — 2C0sp, n | I ds e A _ ns (3) \,L__g”—}—:—,[ä2c()\nç; changéons @ en ç,, et désignons par x“), V ( # ce que deviennent alors x et V,, on aura ; , -— Ë e (1) sm% 0 sm% Fat V, —V, 5 > ce ° æ — % 0— . 0 + sin s; sin t . 2 Si l’on fait tendre o, vers , le second membre de cette sin % © formule tendra vers la limite n à d’ailleurs x } — x 2 5 tendant vers zéro, le premier membre a pour limite |a