234 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. 107. L’équation binôme plus générale y—l)l — | se ramènera à la forme Z"l — [, R , si l’on pose =s z’C/â, vYa désignant l’une quelconque des quantités qui ont a pour puissance 7niêème, On peut démontrer, à l’égard de ces extractions de racines mi*”"s, un théorème tout semblable à celui qui concerne les racines mi*"e de l’unité, lorsque m est un nombre composé. ; Supposons d’abord que m soit le produit de deux nombres premiers entre eux p et q : on aura f m;- _ ya—a P4s or on peut toujours trouver deux entiers & et v (n° 13) tels, que l’on ait PpE+qu=1, plliS(]ll€ P et q sont pl'emiers entre eux : on aura dOIIC pë+qy } e v m — TR77 s< 9,0e rr va=a" —atu —=ye va. S Ainsi l’extraction d’une racine de degré pq se ramène toujours, lorsque p et q sont premiers entre eux, à l’ex- tractüon de deux racines, l’une du degré p, l’autre du degré q. On a, par exemple, quel que soit a >P p*e, , P E / ‘ ; ‘/g1__‘/a,\/a