SECTION I. — CHAPITRE V. 233 quelconque, ' $ 1 — 7" b H BRHL HRS HH RR HM » E— # Le second membre de cette formule est nul si p n’est pas divisible par m; on a donc, dans cette hypothèse, e p e D . * . . . . ° si au contraire y est divisible par m, chacune des puis- sances œ®, 6*, ..., w* est égale à 1, et, par suite, ar+6f+...+o=m. Ainsi l’on aura, en particulier, «a+6 +9y +—... Ë Hie —0,; d 624 d S — e* — O, p rc se ds t e e REn OE 0 S ................................ ; 1//1—1 G 8m—1 ns r/uz—l n mm—l 0 qn 5 em Es 7/;L 4 HE — m. Rappelons enfin que les racines de l’équation 2” = 1 peuvent être exprimées par le moyen des fonctions cir- culaires. Effectivement, si l’on désigne par 27 la cir- conférence dont le rayon est 1, et que l’on fasse 9 À TT e 20 (? m les m racines de l’équation proposée seront données par la formule z — COspe + isinpe, où il suffira d’attribuer à y m valeurs entières conséeu- tives.