Ë 232 COURS D'ALGÈBRE SUPÉRIEURE. et qui ont respectivement pour degres les nombres pre- ; d miers ou puissances de nombres premiers qui divisent le nombre m. 105. L’expression du nombre des racines primitives de l’équation ”— 1 ,quenousavonsobtenue, est précisément celle-du nombre © (m), qui indique combien 1l y a de nom- bres premiers à met non supérieurs à m. Au reste, quand on admet l’existence d’une racine primitive &, il est facile d’établir que le nombre total de ces racines est @ (m). Soit e un entier inférieur à m; si e est premier à m, &° sera racine primitive de 3” — 1; en effet, si le contraire avait lieu, on aurait | | ; t QU 01T R, | ; GUSER ne- ; ; ; n étant < m, ce qui exige que = soit entier, puisque œ est racine primitive ; cette conséquence est inadmissible, car e est premier à mn, et n est inférieur au même nombre. ; 7 em Si e et m ont un diviseur commun 0, - sera un mul- tiple de m, et l’on aura =Is | ; | (a8)! =1; m ( donc a° sera racine de l’équation =* = 1, et, par suite, elle n’est pas racine primitive de la proposée. 106. Soient , 6, y, . . ., & les m racines de l’équation = F3 Si r désigne une racine primitive de la même équation, les mêmes racines pourront être représentées par f“ 777 O 15 on aura donc, en représentant. par uj un nombre positif