SECTION !. — CHAPITRÉ V. 231 conde, ete., de la dernière des équations (2), la for- mule (3) ne donnera que des racines primitives pour l’équation (1). Il est d’ailleurs facile de voir que, si 6, ou 7, … …., ou À n’est pas une racine primitive de celle des équations (2) à laquelle elle appartient, la valeur de « donnée par la formule (3) ne sera pas non plus une racine primitive de l’équation (1). Supposons, en effet, que 6 ne soit pas une racine primitive de zP” — 1 ; On aura alors p—1 y ; prioce e d en et, par suite, cp tgtie en = £ [6 .>.07P7 74 TS / ce qui montre que œ ou 6y... d satisfait à une équation binôme de degré inférieur à m. On peut conclure de ce qui précède le nombre des ra- cines primitives de l’équation (1). En effet, le nombre des racines primitives 6 est, comme on l’a vu précédemment, p* ( — /%>, celui des racines primitives y est de même à I è sr. q ( — —>9 ete.; donc le nombre des racines primitives \ q œ de l'équation (1) est ou I I I mii—— L——}-{1=—=}- P 54 \ 7 On peut aussi énoncer la proposition suivante : Tnéorème V. — La résolution de l'équation binôme z — 1, où m est un nombre composé quelconque, se ramène à la résolution des équations de méme forme,