228 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. Car on aura, par ce moyen, une facine p1‘imitiVæ de l’équation proposée, laquelle donnera toutes les autres par ses diverses puissances. * 104. Considérons maintenant le cas général où le degré m de l’équation binôme | (1) 3”—1 est un nombre composé quelconque ; décomposons ce nombre en ses facteurs premiers, et soit MPF 2 TS P> q, - » » , r désignant des nombres premiers quelconques i - P | inégaux. | Ecrivons les équations ? ; ! À : (2) 21 1S 7 TS désignons par 6 une racine quelconque de la première, par y une racine quelconque de la seconde, etc., par à une racine quelconque de la dernière, et posons (3\, a=@-y...3. Cette expression de & a m valeurs, puisquo 5 S 5 ont respectivement p*, 4,, 1* valeurs ; je dis que ce ph sont précisément les m racines de l’équation (1). Il est d’abord évident que la précédente valeur de « satisfait à l’équation (1), car on a gpÉ— |, 7’/v::l, se UL eN / et, par suile, Ê'”::l. ,ym:l7 S 8'”;:î; , « d’où /‘\ ; akesi. Il reste à prouver que les m valeurs de æ sont différentes.