SECTION 1. — CHAPITRE V. 227 tités 6,, 6,, .. ., 6,. D’où 1l suit que la formule (2) don- nera effectivement toutes les racines de l’équation (1). Cherchons maintenant quelles sont celles de ces ra- cines qui sont primitives. Comme nous l’avons déjà re- marqué, les racines non primitives de l’équation (1) sont celles qui satisfont à l’équation —l 3PF* — 1, Supposons donc que l’on ait p—1 (618233. 2024 Ë…)”L = en supprimant les facteurs égaux à l’unité, cette équation se réduit à u—l (6) e —8 Mais des égalités (4) on déduit p** s5 ,,+ sc 6î“ =ô6, _Ê mt Z par suite, l’équation (6) exige que e r Par où l’on voit que la valeur de æ donnée par la for- mule (2) sera une racine primitive ou non primitive de l’équation (1), suivant que 6, sera différent de 1 ou égal %F $ De ce qui précède on peut conclure la proposition suivante : Tuéorème IV. — La résolution de l’équation binôme zm—1, dont le degré m est une puissance u d’un nombre premier p, se ramène à déterminer une ra- cine &,-autre que l'unité de l’équation zP =1, une ® . ” . . racine 69 quelconque de l'équation z3P— 6,, puis une racine quelconque 63 de 23P — 6,, etc.