SECTION [. — CHAPITRE V. 295 où 9 désigne un diviseur de p* : mais tout diviseur de p*, autre que p* lui-même, doit diviser p*!; donc les ra- cines de l’équation précédente, et, par suite, toutes les racines non primitives de la proposée, doivent appartenir à l’équation 2k — F: D'ailleurs toutes les racines de cette dernière appartien- nent évidemment à la proposée ; le nombre des racines non primitives de celle-ci est donc p”*, et, par consé- quent, celui des racines primitives est Pp*— p**,- ou p* 4 P Nous allons faire connaître la manière dont sont for- mées les racines primitives de l’équation (I) sPË — 1, Soient 6, une racine quelconque de l’équation 2-E RE 62 une racine quelconque de 2P — 6,, 63 une racine quelconque de 2R Q, 23 et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’on obtienne une dernière équalion r3 iga ëe (’ TS UMERE dont nous désignerons par 6, une racine quelconque. Si l’on fait (2) & == 6,'0g 4< 04 1 Qua S. — Alg. sup., 1. 15