SECTION I. — CHAPITRE V. 293 entraîne, en effet, k — L eu (aÀ-)271 — 1, et, par conséquent, tous les termes de la série L 2 3 œs OE » sont racines de l’équation proposée. À cause de «”” == 1, on a aussi 2 2 xl!l+l -— (À, al!!+_ — C(‘, Ë '; d’où il suit que la série précédente contient au plus, comme cela doit être, m quantités distinctes, savoir : œ, .'£2., 7_:4’ es am—1, am ou I. Lorsque m est un nombre premier et que & n’est pas égal à l’unité, les m termes de la série précédente sont diffé- rents; car si l’on avait, par exemple, ! 2/ 171+!1 — "/.L ; n' et n + n étant inférieurs à m, on aurait, en divisant par a”, z a=1; ce qui ne peut être, puisque l’équation =” = 1 n'aaucune racine commune autre que l’unité avec z?” — 1. Il en ré- sulte cette 1)l‘()])05i[i0!1 Tuéorème IM. — S m est un nombre premier, et que « soit une racine quelconque de l'équation Z//l — l, autre que l'unité, les m racines de cette équation seront 7'Pp/'éS@nt@'(:3 par 3 9 2 > LEr Os ME T SOR e e p O J PU e Cette proposition n’a Plus lieu quand 2 est un nombre