l | | | | Ï ; | | i 222 COURS D,ALGÈBRE SUPÉRIEURE. D’où l’on conclut que, si r, r*, r”, .. . , 0 sont les restes 3 , , , ? auxquels conduit la recherche du plus grand commun diviseur des entiers mn et n, on aura et, par conséquent, toute racine commune, «, aux deux équations proposées, est aussi racine de 1 Il est évident d’ailleurs que, réciproquement, les racines de cette dernière équation appartiennent aux deux équa- tions proposées. On peut aussi démontrerle précédent théorème en dé- terminant le plus grand commun diviseur des binômes am—1, 3" — 1 (n° 47); on reconnaît immédiatement que ce plus grand commun diviseur est =} — 1. Il résulte de là que, si m et n sont premiers entre eux, les deux équations SN E n’ont d’autre racine commune que l’unité, et que, si m est un nombre premier, l’équation ZI” _ ! n’a de racine commune autre que l'unité avec aucune équation de même f01‘113e et de degré moindre. Tuéorème II. — Si « (lé$igïæ une racine quelconque de l'équation binôme m rmtrem se toute puissance de & sera aussi racine de la même équa- tion. L'équation