220 COURS D,A_LGÈBRE SUPÉRIEURE Il ne sera pas inutile de présenter, en terminant. l’exemple d’une équation irréductible dont deux racines solent liées entre elles par une relation simple. L'équa- tion _/'(z‘:z3 # 2 — 233— 1 =— 05 Ë ; ; 277 qu! a pour racines les doubles des cosinus des ares *" , 4x Gm -7 »» ést dans ce cas; z, z, êt z9 désignant les trois r r ‘ d racines, on a u I rrs > 2335 — 1# — |> I+2 ; ,Z/ et si l’on forme les expressions de F(31), F(32), on trouvera f(ai) —s f(8)> f(2)=2/( z =—_- —- —— z Se) = — z|j. 4 (I+Z)&L \ ? v 2 z3 / Nous nous sommes borné au cas où l’on a une relation entre deux racines de l’équation proposée. Si l’on avait, entre y racines, @ étant > >, la relation 21 C A e 0,, on pourrait éliminer p — 1 racines en faisant intervenir p—1 des u équations f(3)=0, f(34)=0, .… f(4u1)=0, et 1l en résulterait diverses équations finales qui auraient nécessairement des racines communes avec la proposée. Mais, comme dans le cas particulier que nous avons exa- miné précédemment, ces équations ne seront d’aucun usage si l'équation proposée est irréductible.