SECTION I. — CHAPITRE IV. 209 quant au degré de cette équation, on voit a priori qu'il doit être égal au nombre des combinaisons de m choses / \ m(m—1) deux à deux, c’est-à-dire égal à ) S’il s’agit de l’équation du deuxième degré f(23)==2+p=+q=0, Ÿ on aura f (7=—2"— p J (3)| =% La deuxième des équations (3) se réduit à l u—+—p=0o, et, comme elle ne renferme pas z, elle n’est autre que l’équation demandée ; ce résultat est évident. Dans le cas du troisième degré, la méthode générale est susceptible de simplification ; car, soit l’équation f(3)==+p"+q3#+r=0o, et désignons par z, ,, 32 les trois racines. Si l’on fait 74 + 29 = u, On aura 3= — u —, et, par suite, f{(=-Hu—p)=0; cette équation est p1‘éciSémcnt la transformée demandée. 97. Proprème II. — ZÆtant donnee une equation f(=) =0 du degré m, former une équation F (u) = o, dont les racines soient les di]]ël'0nc‘(35‘ deux à deux des racines de la proposée. Désignons comme précédemment par z et par =, une ; . ; ,, su > » . racine quelconque de l’équation f(3) =0; l’équation en u s’obtiendra en éliminant z et z, entre F(>}=0o -Mj> 0,; en ou, en éliminant z entre les deux Ff(z)=0, f(u+z)=0. s., Alg. sup. — I. 14