SECTION !. — CHAPITRE IV. 203 cette valeur de G, est entière, car, ainsi que nous l’avons montré plus haut, Q, est divisible par d D'après cela, pour établir la formule (4), il suffit de montrer que, si elle a lieu pour une valeur de p, elle subsiste encore pour la même valeur augmentée de 1. À cet effet, multiplions u, . ; la formule (4) par 7* etremplaçons ensuite u, V, par sa ; ‘ ll valeur tirée des égalités (3), savoir ”;L Vy. =— \V‘_J.+\ Q:l. == V:L+2 U"L; si l’on pose, pour abréger, G- 10 G sH 4 (6, e 4 04 il viendra U, U5. . Uy—y U, L 237 V,—G, Vuss + Guxr Vura l—Îm 0 par hypothèse, G,_, est une fonction entière; done, à cause de la précédente égalité, le pr0duit GV est pareillement-une fonction entière, ce qui exige que G, le soit aussi, puisque V,,, n’a pas de facteurs indépendants de y. La formule précédente se déduit de la formule (4) en remplaçant z par u +1 : donc notre assertion se trouve justifiée. En même temps, on voit que les fonctions Ga, G,,. . . seront donnéessuccessivement par la formule (6), en partant des valeurs connues de G, et de G,. Le polynôme V; est lié aux fonctions V, e V, par une relation analogue à la formule (4). On a effective- ment UJ Ug —0 Un Ç Vu—t uf E . L Vg :I{p‘.”—1 V{L+[—Ï{L—Î ‘/(L+l PEs cl st deS d F H, e H désignant des fonctions entières. Cette