SECTION I. — CHAPITRE IV- 199 Supposons, d’après cela, que l’on opère sur les poly- nômes V, et V,, comme s'il était question de chercher leur plus grand commun diviseur ; on sera conduit à une suite d’égalités telles que v —v148 —V,, v, 10 dans lequel l’une des équations ne renferme que l’in- connue x, et celle-ci sera l’équation finale qui résulte de l’élimination de y entre les proposées. Mais, le plus souvent, la recherche du plus grand commun diviseur des polynômes V, et Vz introduit des dénominateurs fonctions de x ; dans ce cas, les conclu- sions précédentes ne subsistent pas. Si, par exemple, la » introduit de tels dénominateurs, division de V, par V , N ‘ ‘ le quotient Q, sera de la forme = N et D étant des fonc- tions entières; on aura N V,=V, ! *D + V3s etl’égalité V, = V, n’aura plus lieu nécessairement pour les valeurs de x et y qui annulent V,, parce que le dé-