. SECTION I. — CHAPITRE 1V. 195 équations à une seule inconnue; car, si on l’applique aux deux équations f(x) = o, y = o, dont la première a Æ racines égales à x,, elle indiquera que l’équation f'(x) =0 a k— 1 racines égales à xo- Mais le nouveau théorème n’a pas une étendue aussi grande que le premier, car nous avons exclu le cas d’une solution multiple qui satisferait aux quatre équations ob- tenues en égalant à zéro les dérivées relatives à x et à y des premiers membres des équations proposées. Ce cas est celui dans lequel la solution que l’on considère est une solution multiple de chacune des équations prises séparément. En effet, si l’on pose, comme au n° 89, Js aaqes t(£— .'I?o), et que la fonction f(x, y ) du degré m puisse se mettre sous la forme F(æ, y) = (æ — x0)F pn (8) + 2 + (x — x0)" 9m (t), 9x (t) étant d’un degré égal à Æ, parmi les racines de l’équation en (t) +.1+(0 —x )*e, (t1)=0, { il y en aura À qui tendront vers des limites finies quand on fera tendre x vers x4, d’où il résulte que k solutions de l’équation /(x, y) = 0 viendront se confondre à la limite avec la solution (xo, 0 ). Si l’on suppose que x ety représentent des coordonnées rectilignes on pourra dire que le point (xo, 0 ) est un point multiple d'ordre Æ pour la courbe représentée par l’équation /(x,y)=0o. Nous avons cru utile de faire cette indication, mais nous n’entrerons point dans l’examen des détails du cas singulier dont il vient d’être question. Remarquons seu- lement que, si deux équations ./.(‘I“7Ï)=Ov F(‘r7Ï)=O