SECTION I. — CHAPITRE IV. 1Q! tions f et F, ainsi que de celles contenues dans ÿ, de ma- nière que l’on ait identiquement (5) T0 T0 T6 la formule (4) deviendra 6) F(x,y) —f( x,Y) v (æ,5) =(x — w4 )* T7 + (= —x* Tpaatt c0 s0 Cela posé, supposons qu’on veuille donner aux équa- tions proposées la solation x=xy,y = y1: il suffira que le second membre de la première formule (3) et celui de la formule (6) se réduisent à zéro poùr œr êt =)’1 T t ; ces valeurs de x et de & devront donc satis- æ, — X faire aux deux équations zle‘{t) ps (.r—.7r0) Ÿ‘l(t>+' se @ ',FÀ.+ (ï‘——— ,Ï‘0ï TÀ‘+I +—...=0. Mais, si l’on fait varier x, et y, de manière que ces quantités tendent vers les limites x9 et Yo, les deux conditions imposées aux arbitraires se réduiront à une seule à la limite, car il suffira que les deux équations P ( t) =0 t> 0 soient satisfaites par la même valeur de t; cette valeur ; ; A y —, sera égale à la limite vers laquelle tend le rapport Æ : ' æ — Æ9 quand y,et.x, tendent vers y et x. Comme la première des équations précédentes est du premier degré, la con- dition dont nous venons de parler équivaut à celle de la divisibilité de T; par , (t); enfin, parce que T, renferme le terme w,_1 (t) u (t) et que les conditions (5) laissent 5x (t) indéterminée, on peut supposer cette fonction choisie de manière que l’on ait identiquement (7) ' TF,=—o. On voit donc que, si l’on dispose des quantités qui res-