SECTION I. — CHAPITRE 1IV. 185 tats par rapport aux puissances croissantes de e, on aura T __ a7(0) (1) V, = V 4 ev( el m o) ; s02 atrs(3) — =Tn TR , ( p(u) , A . , ‘V;{‘> et rlîï étant des polynômes indépendants de e. La fonction f(z,) prendra donc la forme / Ï‘n,\,“ =/'…) \le) + 3/1(1) (Zn) + 52jv(2) (Z'n\ TL Par hypothèse, le terme /(°) ( z, ) est nul ; quelques-uns des coefficients des puissances de e peuvent aussi se ré- duire à zéro, mais ils ne peuvent pas tous s’évanouir, car l’expression précédente de f ( z, ) se rapporte toujours à un système d’équations générales. Désignons par f* (z,) le premier des coefficients qui sont différents de zéro, on aurà alors identiquement jk0)\Z,,ï:(), ./‘(l)kzn>=O, .. ‘/‘U"-l)(zn)—_—()’ et l’expression de f(z, ) deviendra /\7/z) —/" ‘(Z/z:“ d eh pPr0) [\Ï Z,z) H en conséquence, l'équation finale relative au système gé- néral (1) prendra la forme F (, 514N e S O, Maintenant, pour passer des équations générales aux équations particulières (4), il suffit de faire tendre e vers zéro, et à la limite l’équation finale se réduira à f (zn) =. L'analyse qui précède nous conduit donc toujours à une équation limite, soit que les équations proposées ad- mettent des solutions en nombre limité, soit que ces