SECTION I. — CHAPITRE IV. 183 entière de z, et des coefficients des équations (r). Rap- pelons encore que la méthode exposée au n°73 donne le moyen de former les m systèmes de solutions des équa- tions (1) qui répondent respectivement aux 7 racines de l’équation ( 2). Cela posé, donnons aux coefficients R B0> des équalious (1) les valeurs particuliëres A RS et soient (4) Vî0)=0, V;O)=(), ns Vî:”=O ce que deviennent alors les équations (1). Désignons aussi par f‘(2n), T,’,…. les valeurs que prennent, dans la mèême hypothèse, les polynômes #{=n}o T4,--+; Péqua- tion (2) deviendra \5> f(0>(zn)=ov et l’on aura (6) 460 (09 }= DOVO 4 TV 14 DO Supposons d’abord que le premier membre de l’équa- tion (5)ne se réduise pas identiquement à zéro. Il est évi- dent, par la formule (6), que les seules valeurs finies de l’inconnue z, qui puissent, avec des valeurs convenables desautres inconnues, constituer dessystèmes de solutions pour les équations (4), sont les racines de l’équation (5), et celle-ci sera l’équation finale relative au cas particulier que nous considérons. Dans le passage des équations générales aux équations particulières le degré de l’équation finale peut s'abaisser par l'évanouissement de quelques-uns des premierstermes