176 COURS D'ALGÈBRE SUPÉRIEURE. Ainsi, dans le cas qui nous occupe, bien que les équa- tions proposées soient indéterminées, on est conduit à considérer une équation finale qui est, en général, du quatrième degré. 82. Supposons maintenant que les coefficients des équations proposées soient tels que l’on ait identique- ment, non-seulement © o, mais encore X =— o ; comme au numéro précédent, nous exclurons toute relation inu- tile pour la réalisation de nos hypothèses. Les équations HXy—Y =0o, HXz—-Z=0o, obtenues au n° 80, montrent que l’on a idenliqumnm’rt Y =—0,Z=0; le cas où les trois fonctions R, R’, R" se réduisent à zéro sera examiné plus tard, et nous l’ex- cluons en ce moment ; alors, l’une au moins des fonctions R et R” étant différente de zéro, nous supposerons que R ne soit pas nulle. Enfin l’identité X — o nous donne RS SAR, R— R, et nous distinguerons deux cas, suivant que À est une constante ou une fonction de x. Admettons d’abord la première hy pothèse, Les iden- } SI tités Y = o, Z =— o, O =— o s’accordent à donner E 10 —6; si donc on fait sR; On aura ]) — —— %, 2R É et il viendra, à cause des formules (12), e sDH (3E— D" )— E‘3?, H{£=2E)+(2D—EF')1— D,