SECTION I. — CHAPITRE 1IV. 175 complète; mais nous indiquerons succinetement les principales, afin de faciliter l’intelligence des considé- rations générales que nous aurons à présenter ensuite. Les coefficients des équations proposées ne seront plus dans ce qui va suivre des constantes indéterminées, et nous examinerons les cas principaux dans lesquels la fonction © se réduit identiquement à zéro. Supposons d’abord qu’il n’existe entre les coefficients aucune relation autre que celles qui sont nécessaires pour la réalisation de l’hypothèse où nous nous plaçons. Dans ce cas, la fonction X ne se réduit pas à zéro, et la substitution des valeurs (20) de y et de z, dans les pre- miers membres des équations (6), donne des résultats identiquement nuls; cela exige, comme on le reconnaît aisément, que les fonctions rationnelles substituées à y et à z se réduisent à des fonctions linéaires de x, et, par suite, que Ÿ et Z soient divisibles par X. On voit alors que nos trois surfaces ont une droite commune, savoir, celle qui est représentée par les équations (20); mais elles ont aussi d’autres points communs qu’il est facile de déterminer. Effectivement, les formules (20) ont été obtenues en remarquant que, pour toutes les valeurs de X43 qui satisfont aux équations proposées, les deux fonctions entières Y. 648 XIy — , I. 2s Hx . R£ s’annulent. En égalant à zéro le second facteur de l’une et de l’autre expression, on retrouve les équations (20); mais on voit que l’on a en outre la solution X=o ou R*—4RR f—0, laquelle fournit les coordonnées x de ceux des points communs aux trois surfaces qui ne se trouvent pas sur la droite commune.