164 COURS D’ALGEBRE SUPÉRIEURE. leur tour devenir illusoires et exiger l’emploi d’autres formules qu’on pourrait pareillement tirer de l'équa- tion (6); mais il n’est pas utile d’insister davantage sur ce sujet. 75. Les équations (5) et (7) sont, d’après notre ana- ) lyse, une conséquence nécessaire des équations propo- sées; soit V,= o l’une quelconque de celles-ci, et dési- gnons par V, le résultat que l’on obtient quand on remplace dans V,, Z1, Z2,-<-, Sn_1 par les valeurs (7). La fonction V, sera de la forme 5 P. :';n} V e es ————‘———,' /_… » L/ EnjaiE ® (3,) étant une fonction entière. Effectuons la division Ë / de P, (2,) par f (=,), de manière à obtenir un reste 9, ( Zn) de degré inférieur à n, et désignons par F, ( z, ) le quo- tient de cette division, on aura ‘v’ sd .f(zn ?' ‘Y;Lf' =n }+ %L‘J Z'n\Ÿ - e Tagle - Cela posé, puisque les équations ( 7 ) résultent des propo- Pur. } | 7) prop sées, il en sera de même de l’équation V, = o, laquelle se réduit à Pp( Fn ) — Os Or celle-ci ne peut avoir lieu que si o, ( Z, ) est identique- ment nul, car ce polynôme est au plus du degré m —1, el nous savons qu’on ne peut tirer des équations proposées une équation finale en z, d'un degré inférieur à m. La précédente valeur de V), se réduit donc à u, - VL= ÜÎ\—Z,Α—J"—IHÇ/\H” ; d’où il résulte que les équations proposées sont satisfaites