SECTION I. — CHAPITRE IV. 163 Dans le cas particulier où le premier membre de cha- cune des équations (1) est un produit de facteurs du pre- mier degré à coefficients indéterminés, l’équation (5) n’a point de racines égales, et par suite elle n’en peut avoir dans le cas général. Donc, si l’'on remplace z, par l’une des racines de l’équation finale (5), la dérivée /"(z,) ne sera pas nulle, et les formules (7) ne deviendront point illu- soires, à moins que l’on n'’attribue des valeurs détermi- nées aux coefficients des équations proposées. 74. La méthode précédente conduità d’autres formules qu’il convient de remarquer et qu’on obtienten égalant à zéro les termes que nous n'avons pas considérés dans la formule (6) et qui contiennent en facteur soit une puis- sance supérieure à la première de l’une des indétermi- nées &, soit un produit de puissances de plusieurs de ces indéterminées. Par exemple, si l’on représente par F,»(z) le coefficient de x,æ, dans le premier membre de l’équation (4), les indices p et y pouvant être égaux, et qu’on égale à zéro les coefficients de æ et de a,à, dans l’équation (6), 1l viendra ( S(Z F (z (8) jl \—')IL).z: +_L(ÏJ.—)ZÏL+ Ps 1505 (9) 4“,/ (Ï'n ) Z';:.] = FP‘:‘* (3,1 ‘ —0; \ … S ; t g E v r =j Tl DS r. u | 4 | p La seconde de ces formules (8) donne cette valeur de z,, 54F (0n)+ Fs (9n) . d TAE A Les formules (8) et (g) sont plus compliquées que les formules (7); mais, quand on passe du cas des équations générales à celui des équations particulières, les for- mules (7) peuvent devenir illusoires, et dans ce cas les formules (8) et (9) les suppléeront. Celles-ci peuvent à