SECTION I. — CHAPITRE IV. 149 signe E dans la formule (7), ne soit jamais négative, et la condition pour qu'il en soit ainsi est (9) m=ou>(m —1) + (mp — 1) +. .. + (Mn —1). Si cette condition n’est pas satisfaite, comme les indé- terminées j1, Pa,... Varient de o à m,—1, de o à m —1, : , respectivement, la somme p + 2 +- .- #Hn prendra au moins une fois chacune des m + 1 valeurs o, 1, 2,..., m; donc, dans le second membre de la for- mule (7), où l’on suppose #= n, il y a plus de m termes égaux à I, et l’on a alors (10) ÀA Bmc> <8 m Nn m4 > M 67. J’établirai encore ici une inégalité qui nous sera utile dans ce qui va suivre, et que l’on conclut très-faci- lement des formules (4) et (6). Le nombre que représente le symbole N n’étant jamais négatif, il en est de même des expressions dont la valeur est fournie par la formule (7); alors les formules (4) et (6) nous donnent N(n, m) > 4m, N(R, M) > A Gm N (, M) Ds 500 Ainsi on aura généralement N(7, m}> As Amp-r* + * 8m, N (, M)3 en changeant m en 1m — mx, et en écrivant dans le second membre N(n,m) — & N(7, M), au lieu de N (7,m — mz), On aura N (72, m — M ) > Amp * * Am, N (, M) — Ayap e 1 Am, N (, M ). Cela posé, on a l’identité N(n, m — r)èl] =N(n,.m) — A,n, N(R, m), et en donnant à Æ les valeurs 2, 3,. . . , k, dans l’inégalité