, « 148 COURS D 'ALGÈBRE SUPÉRIEURE. le signe E dusecond membre indiquant qu’'il faut donner successivement à u, les valeurs o, 1, 2, . . . , (m, — 1) dans l’expression N(n—1, m—p, ), et faire ensuite la somme des résultats. PRÉSPRUIE CR 7.98 MO 21 0 M 0T ETE | Soient ma, m3,. . ., mx des nombres positifs quelcon- 1 ques, et posons encore r Am, Âm N(R,m) = A N (z, m) — An N(n, m — ma), T ps \ [ (6) ) A3 rrs A,…h (12, m) — Am, Amy N(fl, m)— Am, $m, N (72, m — m}) …. . …...... s07e A ETA S e S SS C0 5 . Î : ‘ = ; c À . 1 â — [ \ v Ë ‘ \ 4m Os e << Am N (R,M)= A pn AmN{n,m)—Amp_p m N (2,m—mp | Si l’on suppose que Æ ne soit pas supérieur à n, on aura, en appliquant successivement Æ fois le théorème exprimé par la formule P3 d vc e S d e S | {7? AmkAmk_l'"A”13A"11N<”7"2/_‘ Ë N{\/l—Â,I?I—!A,—:@—... le signe E exprimant qu'il faut faire la somme de toutes les valeurs que prend N (n—k, m—p,—ps—...—ur), quand on emploie successivement tous les svstèmes de \ valeurs nulles ou positives des indéterminées u Fs [J.g— …. #x Lels que l’on ait B< M, B2