SECTION I. — CHAPITRE IV. 147 ce qui va suivre, l’entier m pourra recevoir des valeurs négatives, et nous conviendrons que, pour de telles va- leurs, on a N(r,m)=0o, lors même que n aurait la valeur zéro. Si l’on remplace m par m — 1 dans la formule (À) on aura , _ m(m+1)...(m+n—1) N(r, m —1)}= —— 7 Vs QvOis ds et par suite, en supposant n > 1, ; (n ii{m P o)/. (M REN N(r, m) — N(n, m—x,‘=\)\-——————————l—(—(————_—) ' 1.2.3...(R —1) ou N(r,m) — N(n,m—1) = N(r—1,m). Cette formule a été établie dans l’hypothèse de 7n posi- tif etde n > 1; mais, d’après notre définition du symbole N, on reconnaît qu'elle subsiste quand m est nul ou né- gatif, et quand » est égal à 1. Si l’on y remplace m sue- cessivement par m, m—1, M— 3, ..., (M—M, +1), et qu’ôn ajoute les m, équations résultantes, il viendra \ N(rn,m) — N(n,m—m,) =N (n—1,m) +N(n—1,m—1)+…. HN n—1,m—m +1), formule qui subsiste évidemment, quel que soit le nombre entier m, supposé positif, Si l’on pose (4) An N(R,m) = N(7,m) — N(n,m — m,), la formule précédente pourra s’écrire comme il suit : &m4=m,—1 (5) Am, N(2, m) = E N(7—1,m—p;), # =0