SECTION 1. — CHAPITRE III. . 141 en posant, pour abréger, A, = 6'3— Pa' b'*+ Qa'*b' — Ra3, A, = b'[ — 3bb' + P (ab' + ba’) — Qaa'] + a'[Pbb' — Q (ab' + ba') + 3Raa'], A, — — b[ — 3bb' + P (ab' + ba’) — Qaa'] — a [Pbh' — Q (ab' + ba') + 3Raa , A, = — b3 + Pab? — Qa?b + Ras, Déterminons maintenant les arbitraires à et a’ de ma- ; nière que l’on ait A=—0, & —0 comme on ne peut admettre que ab' — ba' soit nul, puis- qu’alors u ne dépendrait pas de z, les deux équations précédentes se réduiront à — 365b' + P (ab' + ba') — Qua' =o, Pbb" — Q (ab' + ba') + 3Raa' = 0; si on les résout par rapport à 5h" et ab' + ba', on trouvera P PP , b 3p=06- 5 A e PO R 1 t ! ; b b ; , ; en conséquence, — et — sont les racines de l'équation du a a ; deuxième degré (P* — 3Q) — (PQ — GNt}e+(Q— 3PR) =o. Désignons par t et (’ les racines de cette équation et par f(=) le premier memrvre de l’équation proposée ; les quantités a et a' restant indéterminées, nous ferons a'=a=—1; la transformée en u se réduit alors à f(t) T1 ms e FiF)